Gou­ver­nance des risques d’inondation du lac Cham­plain et de la rivière Richelieu

À la suite des crues prin­ta­nières dévas­ta­trices de 2011 sur la rivière Riche­lieu et le lac Cham­plain, un effort conjoint des gou­ver­ne­ments du Cana­da et des États-Unis ont deman­dé à la Com­mis­sion mixte internationale (CMI) de se pen­cher sur le pro­blème des inon­da­tions et d’émettre des recom­man­da­tions. Après une pre­mière série de tra­vaux réa­li­sés à ce sujet, le Groupe d’étude inter­na­tio­nal du lac Cham­plain et de la rivière Riche­lieu de la CMI mène pré­sen­te­ment une étude sur les causes, les réper­cus­sions, les risques et les impacts de solu­tions alter­na­tives en ce qui a trait aux inon­da­tions dans le bas­sin ver­sant du lac Cham­plain et de la rivière Riche­lieu. Dans le cadre de ce pro­jet, l’équipe du Cité-ID Livin­gLab diri­gée par Marie-Chris­tine Ther­rien ain­si qu’une équipe éco­no­mique de l’ENAP intè­gre­ront le groupe de tra­vail social, poli­tique, éco­no­mique (SPE) pour ce projet. 

L’équipe du Cité-ID devra étu­dier les enjeux de gou­ver­nance liés aux scé­na­rios d’atténuation et d’intervention à l’étude en plus d’analyser les enjeux d’acceptabilité politique. 

Une autre équipe de l’ENAP appui le tra­vail mené par Oura­nos pour l’évaluation éco­no­mique des mesures de miti­ga­tions mise de l’avant par la commission. 

Le Cité-ID Livin­gLab sera éga­le­ment res­pon­sable de la coor­di­na­tion du volet cana­dien du groupe SPE qui, outre les deux équipes de l’ENAP, regroupe des membres d’Oura­nos ain­si que des cher­cheurs du Groupe d’étude sur la capa­ci­té d’adaptation et la rési­lience (GECAR ; COPA­RI) de l’Université de Montréal. 

Le pro­jet se ter­mi­ne­ra en 2022.